Difficile par ailleurs de faire le point sur l’avancée du projet (encore contrarié) d’une nouvelle Arena à Villeurbanne avec le club lui-même qui, pour l’heure, refuse de s’exprimer. Les négociations concernant les futurs projets portés par le nouveau boss Tony Parker sont en cours, avec différents acteurs du sport et/ou du spectacle. Et semblent tendues, variables…
De son côté, Jean-Paul Bret exhorte les dirigeants à tenir enfin une position claire. S’il ne veut pas parler d’ultimatum, cela y ressemble pourtant beaucoup.
Rue89 Lyon : Comment définiriez-vous ce que représente symboliquement mais aussi économiquement l’Asvel pour Villeurbanne ?
Jean-Paul Bret : Il y a une histoire particulière entre ce club et la ville de Villeurbanne. C’est le club le plus titré de l’histoire du basket avec 18 titres de Champion de France, depuis sa création en 1948. Et la commune le lui rend bien : mes prédécesseurs ont toujours aidé les dirigeants de l’Asvel à se développer.
Aujourd’hui, il y a même une association d’anciens joueurs internationaux de l’Asvel qui sont restés à Villeurbanne. Il y a plus un attachement des personnes au club, qu’un réel intérêt économique. L’Asvel s’inscrit dans l’histoire de la ville, le club doit également y inscrire son avenir.
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